Un EP plein de promesses où l’on danse aussi fort sur un imparable Phoenix and Rhapsodie que l’on plane sur un rêveur Night Drive, puis Meeting Place, un single bleu piscine pour enfin débuter l’été, il n’en fallait pas plus pour que les bourguignons de The George Kaplan Conspiracy se fassent une place de choix dans nos baladeurs et surtout dans nos cœurs.
Et c’est à l’heure où nous revient en pleine figure la dure réalité qu’est la rentrée que ce trio dijonnais vous propose de repousser cette fâcheuse fatalité en payant sa playlist de la semaine, pour le moins de haute volée.
Day 1 | Orgasmic & Fuzati – Sinok (2014)
C’est lundi, on est blasé. Ça tombe bien Fuzati aussi.
DAY 2 | Mac DeMarco – Chamber Of Reflection (2014)
Le mardi c’est parfait pour rêvasser, le mardi c’est ennuyeux, le mardi c’est chiant, d’ailleurs que dire sur le mardi ? Mac doit être un grand rêveur
DAY 3 | Serge Gainsbourg – Lemon Incest (1984)
Le mercredi, c’est le jour des enfants, non ? Sinon, le morceau est largement inspiré de l’étude n°3 en mi majeur de Chopin (c’est écrit sur le disque…).
DAY 4 | Marcos Valle – Mentira (1973)
Jeudi, c’est la journée de l’optimisme, c’est presque le week-end, c’est jeudi quoi. Alors un petit morceau de « musique populaire brésilienne » par Marcos Valle et le groove qui va avec, c’est parfait pour accompagner la bonne humeur du jeudi.
DAY 5 | Randy Crawford – Street Life (1979)
Vendredi, OK, OUF, c’est bon, on peut ENFIN aller faire le malin sous une boule à facettes.
DAY 6 | Laurent Voulzy – Cocktail Chez Mademoiselle (1979)
Le morceau respire la mélancolie post-nuit blanche, ça colle bien avec le samedi. Laurent Voulzy, le king du soft rock à la française !
LAST DAY | Jimi Hendrix – Burning Of The Midnight Lamp (1968)
Ce morceau était dans une vidéo de skate, c’est comme ça qu’on l’a connu. Le morceau a un côté « Gospel » , et au milieu de ce bordel psychédélique on peut retrouver un côté mystique, parfait pour le dimanche.
SHAME TRACK | Robert Miles – Children (1996)
On citera donc une personne de notre entourage (dont on taira le nom) qui ne partage pas notre amour pour Roberto Concina aka Robert Miles : « Y’a quoi de plus merdique que Robert Miles ? Vous me direz ça m’intéresse ! » Fait improbable : Robert Miles a remixé Blondes.